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image ⚠️ Propriétaires d’EHPAD : attention aux dérives des associations et comités d’avocats
Article 18/09/2025

⚠️ Propriétaires d’EHPAD : attention aux dérives des associations et comités d’avocats

Introduction : un climat tendu propice aux abus 💥

Depuis quelques années, le secteur des EHPAD (Établissements d’Hébergement pour Personnes Âgées Dépendantes) connaît de fortes turbulences. Entre crises médiatiques, gestionnaires en difficulté, baisses de loyers ou renégociations forcées, les propriétaires de chambres en résidence médicalisée sont souvent les premiers touchés.

Dans ce contexte de tension, de nouvelles structures sont apparues : associations dites “de défense des propriétaires” et comités d’action collective montés avec certains avocats. Leur discours est séduisant : « Nous allons agir en groupe pour défendre vos droits », « Ensemble nous serons plus forts ». Mais derrière cette façade, les pratiques sont parfois discutables 😡.

Honoraires élevés, promesses irréalistes, confusion juridique… Ces démarches peuvent coûter cher aux investisseurs sans leur apporter de réelle solution. Cet article a pour but d’alerter les propriétaires et de leur donner les clés pour reconnaître les dérives.

👉 Message clé : ne vous laissez pas abuser par des promesses d’actions collectives civiles en France qui n’existent pas vraiment. Et surtout : avant de payer quoi que ce soit, demandez conseil gratuitement à un professionnel neutre comme Ehpad Invest.

1. Pourquoi les propriétaires d’EHPAD sont devenus des cibles faciles 🎯


1.1. Un placement attractif mais complexe

L’investissement en chambre EHPAD sous statut LMNP (Loueur Meublé Non Professionnel) a séduit des milliers d’épargnants français. Le concept est simple en apparence :

  • Vous achetez une chambre médicalisée.
  • Un gestionnaire (DomusVi, EMEIS, LNA Santé, etc.) exploite la résidence.
  • Vous percevez des loyers sécurisés par un bail commercial.

Sur le papier, tout est carré. Mais la réalité est plus nuancée : baux complexes, charges (articles 605 et 606), renégociations, gestionnaires parfois fragiles.

1.2. La médiatisation des scandales

Depuis l’affaire Orpea en 2022, les projecteurs médiatiques se sont braqués sur le secteur. Les reportages alarmistes se multiplient, et avec eux l’inquiétude des propriétaires. Beaucoup se sentent piégés : loyers impayés, promesses de rentabilité déçues, absence de marché secondaire organisé.

1.3. Un sentiment d’isolement

Contrairement à l’achat d’un appartement classique, posséder une chambre en EHPAD n’offre pas la même visibilité. Les propriétaires sont souvent seuls face à leurs problèmes, sans syndic, sans copropriété active. Ce vide relationnel crée un terrain fertile pour les promoteurs de solutions “miracle”.

💡 En résumé : les propriétaires d’EHPAD, inquiets et isolés, constituent une cible idéale pour ceux qui veulent monétiser leur détresse.

2. Associations et comités : entre entraide et business caché 🤝💸

2.1. Le rôle légitime des associations

À l’origine, certaines associations de propriétaires d’EHPAD ont vu le jour pour partager de l’information, mutualiser les expériences, défendre des intérêts communs (par exemple lors de discussions sur les charges). Cette dimension d’entraide est précieuse et utile.

2.2. Les nouvelles structures « d’action collective »

Depuis quelques années, on voit apparaître une nouvelle génération de structures :

  • Associations récentes se présentant comme défenseurs des propriétaires.
  • Comités créés autour d’avocats qui proposent des « actions groupées » contre les gestionnaires.

Le discours est séduisant :

  • « Ensemble nous serons plus forts 💪 »
  • « Nous allons bloquer les loyers »
  • « Le gestionnaire sera contraint de plier »

Mais dans les faits, la législation française ne reconnaît pas les actions de groupe civiles classiques (hors consommation et discriminations). Résultat : ces comités n’ont aucune base juridique solide.

2.3. Le piège des honoraires

Pour financer leurs actions, ces structures demandent souvent :

  • Une cotisation annuelle (100 à 300 €).
  • Un forfait d’honoraires pour « rejoindre le comité » (parfois entre 500 et 1 500 €).
  • Parfois même un abonnement mensuel pour « suivi juridique ».

Résultat : des centaines de propriétaires paient… sans obtenir de solution concrète.

🚨 Alerte : cette monétisation de la détresse des investisseurs est une dérive grave.

3. Les dérives juridiques et pratiques ⚖️🚨

3.1. L’absence d’action collective civile

En droit français, contrairement aux États-Unis, il n’existe pas de class action civile généralisée.

  • Oui, il y a des actions de groupe introduites en 2014, mais uniquement dans certains domaines (consommation, discrimination, santé, environnement).
  • Mais dans le cas d’un litige entre un propriétaire et son gestionnaire d’EHPAD, cela reste un contrat commercial individuel. Chaque bail doit être défendu séparément.

Donc quand une association prétend « regrouper tous les propriétaires pour agir en justice », elle vend une illusion.

3.2. Harcèlement et pressions

Certains propriétaires témoignent de pratiques agressives :

  • Appels répétés 📞
  • Mails alarmistes ✉️
  • Menaces voilées : « si vous ne rejoignez pas le comité, vous serez isolé »

Cette pression psychologique pousse des investisseurs à payer dans l’urgence, sans recul.

3.3. Des résultats souvent inexistants

Beaucoup de comités se contentent de :

  • Lancer une mise en demeure collective (qui n’a pas plus de poids qu’une individuelle).
  • Promettre des procès… qui ne démarrent jamais.
  • Reporter sans cesse les échéances.

Au final, les propriétaires restent seuls, mais avec un portefeuille allégé.

4. Comment reconnaître une démarche saine d’une démarche abusive 🧐

4.1. Les bons signaux ✅

  • Information gratuite et claire.
  • Aucun engagement financier immédiat.
  • Conseils adaptés à chaque situation.
  • Transparence sur les résultats obtenus.

4.2. Les signaux d’alerte ❌

  • Discours alarmiste (« agissez vite ou vous perdrez tout »).
  • Honoraires élevés demandés dès le départ.
  • Absence de preuves de résultats.
  • Promesse d’action collective civile.
  • Absence de réponse claire sur les textes juridiques.

4.3. Le bon réflexe : demander un second avis

Avant de payer un euro, prenez un avis gratuit et neutre auprès d’un professionnel qui connaît le secteur. Par exemple : Ehpad Invest accompagne depuis 2003 des milliers de propriétaires, sans jamais facturer le moindre conseil initial.

5. Que faire si vous êtes concerné ? 🚀

5.1. Relire son bail commercial 📑

Le bail contient toutes les clés :

  • Durée ferme.
  • Répartition des charges (articles 605/606).
  • Indexation des loyers.
  • Obligations du gestionnaire.

5.2. S’entourer de conseils fiables 🤝

  • Votre notaire.
  • Un avocat spécialisé en baux commerciaux (mais choisi librement).
  • Des experts neutres comme Ehpad Invest.

5.3. Explorer les vraies solutions 💡

  • Renégociation individuelle : certains gestionnaires acceptent un accord amiable.
  • Action judiciaire individuelle : plus lente, mais réaliste.
  • Revente du lot : quand le bail est solide, le marché existe.

5.4. Prendre du recul ✨

Ne cédez pas à la panique. Les promesses de procédures miracles sont rarement tenues. Mieux vaut une solution pragmatique qu’une illusion collective.

Conclusion : vigilance et bon sens 👀

Les propriétaires d’EHPAD doivent rester vigilants face aux promesses d’associations et de comités d’avocats qui exploitent leur inquiétude. En France, il n’existe pas de procédure collective civile pour ce type de litige. Payer des honoraires élevés pour rejoindre un comité est souvent une impasse.

👉 Avant toute décision, le bon réflexe est simple : demander un avis gratuit et neutre. Chez Ehpad Invest, nous analysons les situations sans engagement, avec l’expérience de plus de 20 ans sur ce marché.

⚖️ Ne cédez pas aux discours alarmistes.

📞 Contactez un professionnel neutre avant de payer.

💡 Informez-vous, comparez, gardez votre libre arbitre.

Avantages de l'investissement en EHPAD et résidences seniors

L'investissement dans les Établissements d'Hébergement pour Personnes Âgées Dépendantes (EHPAD) et les résidences seniors est une option de plus en plus prisée par les investisseurs cherchant à diversifier leur portefeuille tout en répondant à une demande croissante. Voici un aperçu détaillé des avantages.

Rendement attractif

Les investissements en EHPAD et résidences seniors offrent généralement des rendements annuels nets compris entre 6 % et 7 %. Ces rendements sont souvent plus stables comparés à d'autres types d'investissements immobiliers.

Demande croissante

Avec le vieillissement de la population, la demande pour des logements adaptés aux personnes âgées ne cesse d'augmenter. Cela crée un marché en expansion, offrant aux investisseurs une opportunité stable et durable.

Avantages fiscaux

Les investisseurs peuvent bénéficier de dispositifs fiscaux avantageux tels que le statut de Loueur en Meublé Non Professionnel (LMNP) ou Loueur en Meublé Professionnel (LMP). Ces statuts permettent de réduire l'impôt sur le revenu grâce à l'amortissement du bien et à la déduction des charges.

Gestion simplifiée

Les résidences seniors et les EHPAD sont souvent gérés par des opérateurs spécialisés, ce qui simplifie la gestion locative pour les investisseurs. Cela inclut la recherche de locataires, l'entretien du bien et la gestion des services.